Comme le titre l’indique, cet article traite des principales règles de divisibilité : certaines sont très classiques – on les rencontre dès le début du collège (parfois même un peu plus tôt); d’autres le sont nettement moins.
Si vous pensez maîtriser suffisamment les pré-requis (pour l’essentiel : notions de divisibilité et de congruence modulo un entier, écriture dans une base de numération donnée), alors je vous invite à vous rendre directement à la section 4. Et sinon, pas de panique, car j’ai prévu de reprendre toutes ces notions à zéro 🙂
1 – Diviseurs et multiples, vite fait
Avant toute chose, je vous propose de revisiter le B-A-BA concernant les notions de diviseurs et de multiples d’un nombre entier.
Vous connaissez probablement tout ça, mais c’est juste pour être sûr …
Définition
Etant donnés deux nombres entiers et :
est dit multiple de lorsqu’il existe un entier tel que
Les trois affirmations :
- est un multiple de
- est un diviseur de
- divise
expriment une seule et même propriété, que l’on note .
Dans le cas contraire, on note
Dans la définition ci-dessus, on insiste sur le caractère entier de : si l’on autorisait pour n’importe quelle valeur réelle, la notion perdrait tout intérêt. On peut, en effet, toujours écrire des égalités du type mais il ne faudrait pas en déduire que est multiple de …
Exemples
- puisque
- puisque
En revanche : car trop petit … et trop grand … !
On observera que :
- 0 ne divise aucun entier hormis lui-même
- 1 et -1 sont des diviseurs de tout entier
Par ailleurs, on prouve aisément les propriétés suivantes :
- Tout entier vérifie
- Si deux entiers vérifient et alors ou
- Si trois entiers vérifient et alors
Pour les amateurs de concepts abstraits, la première et la troisième affirmation ci-dessus expriment respectivement la réflexivité et la transitivité de la relation de divisibilité dans l’ensemble
Quant à la seconde affirmation, elle dit que deux entiers qui se divisent mutuellement sont nécessairement égaux ou opposés.
En se plaçant dans au lieu de (c’est-à-dire en ne considérant que des entiers positifs ou nuls), les choses « s’arrangent » :
→ Si deux entiers naturels vérifient et alors
On parle, pour traduire cela, d’antisymétrie de la relation de divisibilité dans
Cette propriété est à rapprocher des deux suivantes, certainement bien connues :
- si deux nombres réels vérifient et alors
- si deux ensembles vérifient et alors
Lorsqu’on s’intéresse aux diviseurs d’un entier on peut se limiter aux diviseurs positifs puisque équivaut à D’où la convention suivante :
Dans toute la suite, et sauf avis contraire, lorsqu’on écrira « diviseur », il faudra comprendre « diviseur positif ».
Par exemple, les diviseurs de 48 sont au nombre de dix. Les voici dans l’ordre croissant :
Quant à 17, ses seuls diviseurs sont 1 et 17, ce qu’on exprime en disant que 17 est premier (pour en savoir davantage sur les nombres premiers, on pourra consulter cet article).
Un petit test pour voir si vous suivez :
Vrai ou Faux ?
Quelques « Vrai ou Faux » pour voir si vous suivez…
- 54 possède plus de diviseurs que 24.
- 7 est un diviseur de 343.
- 1001 est un nombre premier.
- il existe des entiers naturels possédant exactement trois diviseurs.
- si un entier divise simultanément deux entiers et alors
- la somme des diviseurs de 512 est inférieure à 1000.
Les réponses sont regroupées en fin d’article.
Il revient au même de dire que est multiple de ou que le reste de la division de par est nul.
Par exemple, 128588 est divisible par 17 comme on le voit en posant la division (le reste est nul) :
Maintenant, interrogeons-nous :
Question [Q]
Est-il possible de reconnaître qu’un entier est multiple d’un autre sans effectuer la division ?
Par exemple, si 5 enfants souhaitent se partager équitablement 1165 billes, ils peuvent vérifier que c’est possible en posant la division : comme alors 1165 est multiple de 5 et chaque enfant recevra 233 billes.
Mais pour se convaincre que le partage équitable est possible, ils peuvent aussi observer que l’écriture décimale de 1165 se termine par un ‘5’.
Vous saviez cela. Mais sauriez-vous le justifier ?
Voici l’explication pour un nombre de 4 chiffres :
Explication (cliquer pour déplier / replier)
Prenons un nombre à quatre chiffres et notons-le ce qui signifie :
avec des entiers, tous compris entre 0 et 9. En posant cette égalité prend la forme plus concise :
Si est multiple de 5, disons alors aussi puisque :
Mais puisque ceci impose ou bien
Réciproquement, si alors :
et si alors :
On voit ainsi l’équivalence entre les deux énoncés :
- est multiple de 5
- ou
Et ceci se généralise à des entiers naturels quelconques (pas seulement ceux dont l’écriture décimale comporte quatre chiffres !). C’est ce que dit la proposition suivante :
Proposition
Etant donné un entier naturel dont le chiffre des unités est :
ce qui se lit : « est multiple de 5 si, et seulement si, son chiffre des unités est 0 ou 5″.
Maintenant, mettons en place un peu de théorie et nous reprendrons la question [Q] à la section 4.
2 – Un mot sur les congruences
Imaginons un fil infiniment long, sur toute la longueur duquel sont placées de petites perles, régulièrement espacées :
A côté de chaque perle, on inscrit un nombre entier : l’une des perles porte le numéro 0 et, en parcourant le fil dans un sens à partir de cette position, on voit défiler les entiers positifs 1, 2, 3, etc …
Dans le sens inverse, ce sont les entiers négatifs -1, -2, -3, etc … qui apparaissent :
Imaginons maintenant un fil hélicoïdal :
Disposons les perles sur cette hélice, de telle sorte qu’elles soient toutes sur une même verticale :
A présent, aplatissons notre fil hélicoïdal en le projetant sur un plan horizontal.
Fatalement, les perles vont toutes se retrouver au même endroit :
Et maintenant, multiplions par 5 la densité des perles sur le fil hélicoïdal :
Cette fois, on observe en projection cinq zones de regroupements pour les perles… c’est-à-dire pour les entiers relatifs.
Les entiers …, -5, 0, 5, … seront tous regroupés au même endroit.
Même chose pour …, -4, 1, 6, … tout comme pour …, -3, 2, 7, … et aussi pour …, -2, 3, 8, … et enfin pour …, -1, 4, 9, …
Lorsque deux entiers se retrouvent au même endroit du cercle, on dit qu’il sont congrus l’un à l’autre modulo 5.
Cela signifie que la longueur de fil qui sépare les perles correspondantes est un multiple de la circonférence, autrement dit que la différence entre ces deux entiers est un multiple de 5.
On peut bien sûr généraliser, en remplaçant 5 par un quelconque entier …
Et hop ! On peut maintenant donner la :
Définition
Etant donnés un entier et deux entiers on dit que est congru à modulo , ce qu’on note lorsque est multiple de
C’est ainsi que, par exemple :
- La première congruence résulte de
- La seconde résulte de
- La troisième résulte, quant à elle, de
Lorsqu’on effectue la division euclidienne d’un entier par un entier on écrit :
Il est alors clair que
Mais attention à la réciproque ! Si trois entiers (avec vérifient on ne peut pas en déduire que est le reste de la division euclidienne de par C’est toutefois le cas si l’on ajoute l’hypothèse
Terminons cette section en présentant les règles de « compatibilité » de la congruence modulo avec l’addition et la multiplication.
Règle 1 – Compatibilité avec l’addition
Etant donné et si
alors :
Preuve (cliquer pour déplier / replier)
Par hypothèse, il existe des entiers tels que et En ajoutant membre à membre ces deux égalités, il apparaît que :
ce qui donne la conclusion.
Autrement dit, on peut ajouter membre à membre deux congruences, mais modulo un même entier !
Bien entendu, cela fonctionne tout aussi bien avec un nombre quelconque de congruences (toujours modulo un même entier).
En symboles, si et sont des entiers tels que, pour un certain :
alors :
Si vous n’êtes pas à l’aise avec le symbole je vous suggère d’aller faire un petit tour par ici
Règle 2 – Compatibilité avec la multiplication
Etant donné et si
alors :
Preuve (cliquer pour déplier / replier)
Par hypothèse, il existe des entiers tels que et Il s’ensuit que :
ce qui donne la conclusion.
On peut donc multiplier membre à membre des congruences modulo un même entier.
Plus généralement, l’hypothèse :
entraîne :
Et en particulier, si alors pour tout exposant
Un exemple historique
On observe que :
donc :
et donc (en élevant à la puissance quatrième) :
Par ailleurs :
donc :
A présent, si l’on combine les relations et on obtient :
ce qui signifie que le cinquième nombre de Fermat est multiple de 641 et, en particulier, qu’il n’est pas premier. Pierre de Fermat (1601 (?) – 1665) avait conjecturé – à tort – que les nombres de la forme sont premiers pour tout C’est à Leonhard Euler (1707 – 1783) que l’on doit le contre-exemple ci-dessus.
Il aura fallu attendre près un siècle entre la formulation par Fermat de cette conjecture et sa réfutation par Euler !..
3 – Un mot sur l’écriture décimale des entiers positifs
A l’école, nous avons appris à écrire les nombres (entiers positifs) en utilisant les dix chiffres, de 0 à 9.
De manière précise, la possibilité pour n’importe quel d’être représenté par son écriture décimale ou – plus généralement – dans une quelconque base de numération, constitue un théorème important dont voici l’énoncé :
Théorème
Etant donné un entier (la « base de numération »), tout entier peut s’écrire :
- Pour tout est un entier compris entre 0 et inclus.
En outre, cette écriture est unique.
Les entiers sont appelés les chiffres de l’écriture de en base
Pour celles et ceux que ça intéresse, j’ai réalisé deux petites vidéos dans lesquelles :
- ce théorème est expliqué et illustré d’exemples (vidéo 1) puis démontré rigoureusement (vidéo 2)
- l’algorithme de conversion qui en découle est expliqué en Python.
Vous pouvez visionner ces vidéos dès maintenant, si vous le souhaitez.
Ce théorème va nous servir, dès la section suivante, à formuler et / ou démontrer certaines règles de divisibilité.
4 – Règles usuelles de divisibilité
Abordons à présent le cœur du sujet.
J’en vois qui rouspètent … « c’était bien long avant de démarrer !!… ».
C’est un peu vrai, mais il fallait bien rassembler les outils appropriés pour aborder sereinement ces questions.
Etant donné un entier nous disposons de son écriture décimale (voir section précédente) :
avec les chiffres dans et
Tout d’abord, énonçons quelques règles, sans démonstration.
Trois règles portant sur le chiffre des unités seulement
- [ ] est divisible par 10 si, et seulement si
- [ ] est divisible par 2 si, et seulement si l’est, c’est-à-dire si
- [ ] est divisible par 5 si, et seulement si l’est, c’est-à-dire si
Une règle portant sur les deux derniers chiffres
- [ ] est divisible par 4 si, et seulement si l’est, c’est à dire si l’entier formé par le chiffre des dizaines et celui des unités est multiple de 4.
Une règle portant sur les trois derniers chiffres
- [ ] est divisible par 8 si, et seulement si l’est, c’est à dire si l’entier formé par le chiffre des centaines, celui des dizaines et celui des unités est multiple de 8.
Trois règles portant sur l’ensemble des chiffres
- [ ] est divisible par 3 si, et seulement si l’est.
- [ ] est divisible par 9 si, et seulement si l’est.
- [ ] est divisible par 11 si, et seulement si l’est (autrement dit si la somme alternée des chiffres est multiple de 11).
L’intérêt de ce genre de critère est clair : ils nous permettent de savoir si un entier est multiple de 3 (ou de 9, ou de 11, etc…) en effectuant considérablement moins de calculs que si l’on posait la division. Et cet écart est d’autant plus marqué que l’écriture décimale de l’entier testé comporte davantage de chiffres.
Pour les preuves des règles [ ] et [ ], je vous renvoie à la fiche n° 1 sur la divisibilité.
La règle [ ] est établie à la section 5 … mais n’y allez pas tout de suite !
Cherchez un peu 🙂
Les autres règles sont très simples à démontrer.
5 – L’affaire 1001
Tout d’abord, un constat :
Nous allons nous appuyer sur cette égalité pour élaborer deux tests de divisibilité, l’un par 7 et l’autre par 13.
Considérons un entier positif et son écriture en base 1000.
C’est vrai que, dit comme ça, c’est un peu étrange … Mais après tout, le théorème énoncé à la section 3 est valable en particulier pour .
On écrit donc :
Les entiers sont tous compris entre 0 et 999 inclus.
Ce sont les chiffres de l’écriture de en base 1000. Par exemple, si (écriture décimale), alors et :
On forme donc simplement des « paquets » en groupant, de droite à gauche, les chiffres trois par trois. Le « paquet » le plus à gauche comporte, selon le cas, un, deux ou trois chiffres.
Mais revenons au cas général. Comme on déduit de que :
Et l’on peut faire exactement le même calcul modulo 13, puisque
Il en découle les deux règles suivantes :
Règles de divisibilité par 7 et 13
- [ ] est divisible par 7 si, et seulement l’est
- [ ] est divisible par 13 si, et seulement l’est
Voyons un exemple. Considérons l’entier pour lequel et
Calculons :
Comme on peut affirmer que est multiple de et de
Encore un exemple, avec
Cette fois, et :
donc :
ce qui prouve que est multiple de 7 (mais pas de 13, puisque
Un dernier mot à ce sujet : la congruence est aussi vraie. Alors pourquoi ne pas énoncer un test similaire de divisibilité par ?
Tout simplement parce qu’il y a plus simple. Il suffit de voir que et donc, en utilisant l’écriture décimale :
on voit que :
ce qui donne la règle énoncée à la fin de la section précédente.
6 – Les tests itérés
Etant un donné un entier naturel notons le nombre des dizaines et le chiffre des unités, de sorte que
Par exemple si alors et
On décrit ici un ensemble de règles ayant en commun de ramener la question « est-il divisible par » à la question « est-il divisible par « , où désigne un entier convenablement choisi et qui dépend de
J’ai adopté la terminologie de « tests itérés » car, en principe, on aura ce qui va nous conduire à itérer le mécanisme, c’est-à-dire à construire une séquence décroissante d’entiers :
tels que :
et pour tout :
L’idée est que soit assez petit pour que la question de savoir s’il est divisible par soit évidente.
Si vous connaissez une dénomination officielle pour ce type de règle, je vous remercie par avance de m’en informer (en passant par exemple par le formulaire de contact).
Avant de présenter cette méthode dans le cas général, examinons quatre cas particuliers (divisibilité par 7, par 13, par 17 ou par 19) :
Règle itérée pour 7
Le cas
On constate que :
d’où l’on déduit que si alors
Par ailleurs :
d’où l’on déduit que si alors Ainsi :
Exemple
or et donc
Remarque
lorsque l’un des entiers de la séquence se termine par un 0, on peut directement supprimer ce chiffre et passer à l’entier suivant (ici, de 560 à 56). En effet, et sont premiers entre eux, donc pour tout entier .
Règle itérée pour 13
Le cas
On constate que :
d’où l’on déduit que si alors
Par ailleurs :
d’où l’on déduit que si alors Ainsi :
Exemple
or et donc
Remarque
A partir de l’entier 26, l’itération de produit rien de neuf, puisque
Règle itérée pour 17
Le cas
On constate que :
d’où l’on déduit que si alors
Par ailleurs :
d’où l’on déduit que si alors Ainsi :
Exemple
or et donc
Règle itérée pour 19
Le cas
On constate que :
d’où l’on déduit que si alors
Par ailleurs :
d’où l’on déduit que si alors Ainsi :
Exemple
or et donc
Plus généralement, si est un entier premier avec alors l’identité de Bézout garantit l’existence de deux entiers relatifs tels que On voit alors que :
ce qui montre déjà que
Par ailleurs :
ce qui prouve l’implication réciproque. Bref :
Remarque
Ce critère n’a d’intérêt que si l’entier testé est remplacé par un entier plus petit, c’est-à-dire si , condition qui est effectivement remplie dans chacun des quatre cas détaillés plus haut.
Annexe : Réponses aux Vrai / Faux
54 possède plus de diviseurs que 24.
C’est FAUX, il en possède autant !
Diviseurs de :
Diviseurs de :
D’une manière générale, étant donné un entier on peut le décomposer en produit de nombres premiers :
où sont des nombres premiers tous distincts et où et sont des entiers naturels non nuls.
Avec ces notations, le nombre de diviseurs de est donné par le produit :
Ainsi, comme :
et comme :
7 est un diviseur de 343.
C’est VRAI, puisque :
1001 est un nombre premier.
C’est FAUX. On constate que :
Le test de divisibilité par ou par permettait de le découvrir, puisque la somme alternée des chiffres en base est nulle (voir section 5) !
Il existe des entiers naturels possédant exactement trois diviseurs.
C’est VRAI. En effet, si est un nombre premier et si alors les diviseurs de sont les pour En particulier, les diviseurs de sont et
Les carrés de nombres premiers sont d’ailleurs les seuls entiers qui possèdent exactement trois diviseurs ! En effet, d’après la formule vue plus haut (voir le premier « Vrai ou Faux »), il faut que ce qui impose que l’un des vaut et tous les autres valent autrement dit que est de la forme avec premier.
Si un entier divise simultanément deux entiers et alors
C’est VRAI. En effet, si et alors Tout simplement.
La somme des diviseurs de 512 est inférieure à 1000.
C’est FAUX.
On peut certainement faire le calcul « bêtement ».
Mais on peut aussi observer que et que, par conséquent, les diviseurs de sont les pour
En utilisant la formule donnant la somme d’une progression géométrique (programme de première), on trouve :
Merci de m’avoir lu jusqu’au bout 🙂
Si vous souhaitez chercher des exercices en rapport avec le thème de la divisibilité, vous pouvez jeter un coup d’œil par ici.
Vos questions ou remarques sont les bienvenues. Vous pouvez laisser un commentaire ci-dessous ou bien passer par le formulaire de contact.
Bonsoir Monsieur,
Dans l’explication à dérouler via un clic, juste avant la section 2, un « n=5(q+1) » est resté en « affichage code latex ».
Bien à vous
Bien vu et merci 🙂 C’est rectifié.
Bonjour,
Merci pour votre article très complet. Je vous propose également mon test itéré de divisibilité par ou :
Divisibilité par :
Si le nombre se termine par 0, supprimer le 0 et chercher la divisibilité par .
Sinon, ajouter ou retrancher pour que le nombre se termine par 0.
Divisibilité par :
Si le nombre se termine par 0, supprimer le 0 et chercher la divisibilité par .
Sinon, ajouter ou retrancher ou pour que le nombre se termine par 0.
Merci beaucoup, des techniques très intéressantes et des découvertes pour ma part! 🙂
toujours très bon mais souhaite d’autres domaines d’intérêt : par exemple, méthode et technique de recherche de plans stables par un endomorphisme de …
Merci pour ce commentaire. Mon prochain article sera donc consacré à une question d’algèbre linéaire 🙂