Indications pour démarrer les exercices sur la dimension (fiche 01).
Cliquer ici pour accéder aux énoncés.
Penser à utiliser la formule de Grassmann.
Distinguer deux cas, selon que est une homothétie ou non.
Penser à utiliser la caractérisation des homothéties, que l’on peut trouver ici.
Une solution consiste à translater la base canonique de
Si alors la connaissance des pour détermine complètement
Formaliser cette idée et en déduire un isomorphisme entre et un espace vectoriel de dimension connue.
La première question est archi-classique et doit conduire à une droite vectorielle de solutions. Pour la seconde, on peut temporairement se placer sur un intervalle où la fonction ne s’annule pas.
Un bon point de départ : considérer la restriction de à l’image de et lui appliquer le théorème du rang.
La famille libre peut être complétée en une base de Il sera utile de faire intervenir la base duale de celle-ci.
Le fait que soit un sous-espace vectoriel de ne doit poser aucune difficulté : on vérifie simplement le critère de sous-espace.
Pour calculer une idée consiste à établir un isomorphisme entre et un espace vectoriel de dimension connue.
Il pourra être utile de se souvenir du fait qu’une application linéaire est entièrement déterminée par ses restrictions à des sous-espaces supplémentaires.
Ces indications devraient permettre le calcul de la dimension de .
C’est sans doute l’exercice le plus difficile d’accès de cette fiche …
Etant donnée une base de on peut noter sa base duale et décomposer tout vecteur sous la forme :
Si est une forme linéaire, alors pour tout le scalaire peut donc s’écrire comme une somme multiple, indexée par l’ensemble des applications de dans :
Si de plus est alternée, alors certains termes de cette somme doivent disparaître …