

➡ Pour
: trouver un équivalent en 0 et calculer la limite en 1.
➡ Pour
: montrer la convergence absolue.
➡ Pour
: trouver des équivalents en 0 et en 1.
➡ Pour
: réviser la nature de l’intégrale (dite de Dirichlet)
puis linéariser ![]()
➡ Pour
: la fonction est prolongeable par continuité en 0. En
la règle des équivalents n’est pas applicable, mais on peut effectuer un développement asymptotique.
➡ Pour
: trouver un équivalent en
après avoir factorisé le polynôme ![]()

Raisonner par l’absurde.
Si par exemple
admettait en
une limite
quelle serait alors la limite de l’intégrale partielle
lorsque
?

Intégrer par parties et raisonner par récurrence.

Comme
l’application
est continue. Dans les cas où
la comparer à une fonction du type
au voisinage de
Dans le cas
effectuer une comparaison avec l’intégrale de ![]()

On peut deviner la limite de la suite
en dessinant la forme de la courbe de la fonction
pour
grand.
Pour montrer que
un simple encadrement de
devrait faire l’affaire.
Enfin, pour déterminer la nature de la série de terme général
, je vous suggère d’établir une inégalité et d’appliquer le principe de comparaison … mais c’est à vous de décider s’il faut chercher à majorer ou bien à minorer
😉

La majoration classique
est la clef pour établir l’encadrement demandé.
Ensuite, le changement de variable
dans l’intégrale
fait apparaître une intégrale de Wallis.
Il reste à trouver un « bon » changement de variable pour l’autre intégrale.

L’idée sous-jacente est très géométrique !
Observer que l’intégrale partielle
est égale à la somme partielle 
Ceci montre l’existence d’une limite finie pour
lorsque l’entier
tend vers ![]()
Il restera à trouver comment faire pour en dire autant de
lorsque le réel
tend vers
.
Enfin, pour montrer que
n’admet pas de limite en
penser à la caractérisation séquentielle de la limite …

Le théorème de dérivation sous le signe
donne immédiatement la positivité de
On peut aussi (plus élémentaire) revenir à la définition de la convexité et montrer que :
![]()
Observer que l’on peut écrire :
![]()
Ensuite, il s’agit de montrer que
Dériver sous le signe
et penser à l’inégalité de Cauchy-Schwarz.

Notons
le graphe de
Pour tout
et pour tout
comparer les pentes des trois cordes dont les extrémités sont :
- les points d’abscisses
et 
- les points d’abscisses
et 
- les points d’abscisses
et 
Utiliser l’encadrement obtenu pour montrer que :
![]()
